
Création et animation de 2 balades sur les champs de bataille de Namur
avril 2016
Balades réalisées pour le bénéfice de l’association “Paysages en bataille”.
Les itinéraires proposés ont fait découvrir la campagne namuroise sous un jour surprenant.
Sur les traces des combats d’août 1914: les forts, tranchées, et points d'appuis: leur relation à la topographie, comment ont-ils été attaqués et défendus. Le rôle joué par la position fortifiée de Namur.
Sur les traces des observateurs: ponctué par les bunkers de l’entre deux guerres cet itinéraire reliait les postes d'observation. L'occasion de découvrir les techniques d’observation sur base des croquis d’époque.
Certificat universitaire en Analyse paysagère, Namur
de janvier à juin 2012
Frahan, un exemple de paysage artialisé:
analyse complète des villages de Rochehaut et Frahan, comme travail de fin d'études, présentés lors de l'inauguration du visiorama à Rochehaut, le 30 juin 2012
Participation au salon BtoMT à Namurexpo
mars 2012
A l'occasion du salon "Business To Museum and Tourism", présentation d'une version "Mini" du visiorama, ainsi qu'une version structure bois à écran plat.
Analyse architecturale, production visuelle et installation d'un prototype face au Palais des expositions.
Proposition de maquette pour le"In Flanders Field Museum"
de décembre 2008 à avril 2009
Il s'agit d'une maquette-test représentant un état du paysage entre 1915 et 1917 dans le saillant d’Ypres.
Celle-ci a été réalisée avant que le musée ne décide la commande de la totalité du dispositif scénographique. Ce dispositif prévoyait la représentation à l'échelle 1/1000è d'une zone de front de 5
km X 15 km qui s’étendait du village de Dikkebus (Sud Ouest d’Ypres) au village de Zonnebeke (Nord Est d’Ypres).Cette zone devait représenter la ville d’Ypres, les réseaux de tranchées de la ligne de front Wieltje – Bellewaerde - Hill 62, les emplacements des Batteries alliées et allemandes, les postes d’observation d’artillerie alliés et allemands, les emplacements des cantonnements des troupes alliées (Dikkebus) et allemandes (Zonnebeke), les réseaux d’acheminement de troupes et de matériel vers les secteurs du front précité.
Il était prévu d'intégrer des endoscopes dans la maquette, de manière à offrir aux spectateurs une possibilité de voir depuis les tranchées. Ces visions au ras du terrain auraient été accompagnées du témoignage des soldats ayant vécu les combats ici même. Une mise en scène pour comprendre les relations entre la configuration du terrain et la manière dont les belligérants s’en sont servis, soit pour se protéger, soit pour attaquer.
Conception et réalisation de l’exposition “Paysages Fortifiés”
septembre 2007
Cette exposition a été réalisée pour la Province de Namur à l'occasion des journées du Patrimoine 2007. Inspirée par les moyens impressionnants déployés par l'armée belge durant les deux guerres mondiales pour contrôler le périmètre de Namur face à l'ennemi, deux vidéos furent produites. "Des forts dans le paysage révélait les dessus et les dessous de l'architecture très particulière des forts et des bunkers, et leur rapport à la topographie, tandis que "des paysages sous surveillance" présentait les croquis panoramiques effectués par les observateurs pendant la mobilisation précédant la guerre '40, en relation avec les cartes pour démonter leur rôle essentiel.
Conception et réalisation de l’exposition “Sur les traces des observateurs”
juillet 2000
Première exposition personnelle de Philippe Tasiaux, il y a présenté des croquis réalisés depuis l'emplacement même où, en 1939, l'armée belge a établi des postes d'observation pour défendre la Position Fortifiée de Namur. C'est sur base d'une analyse minutieuse des croquis de l'époque que Philippe Tasiaux réalisa une nouvelle campagne de croquis au printemps 2000 en appliquant la même méthode que les observateurs. Le résultat était un compromis entre la cartographie et le panorama, de par la manière codifiée de représenter les éléments permanents.
Tout comme les postes d'observation étaient disposés de telle sorte qu'aucun point du terrain d'action de l'artillerie n'échappe à leurs vues, les panoramas étaient mis en scène dans la galerie comme l'étaient les postes d'observation dans le paysage réel.